Yo le peuple !
Et voilà, voici le dernier article de mon challenge 400 mots tous les jours pendant un mois, et celui-ci signe également le dernier article du mois d’avril. J’avoue que j’aurais aimé écrire beaucoup plus pour le blog, mais le temps me manquait pour vraiment me poser sur quelque chose en particulier. En attendant cela me laissera quelques sujets de côté pour le mois de Mai, donc rien n’est perdu.
Sinon l’article, comme les autres, ne sera pas d’une longueur exceptionnelle, surtout avec la semaine que j’ai passée. Celui-ci se composera de deux parties : une pour rendre compte de ce que j’ai bien pu écrire au cours des derniers jours, et l’autre pour faire un petit bilan de ce challenge.

Les deux premiers jours je m’en étais allée pour terminer la fiche de personnage RPG que j’avais commencé au début du mois, mais malheureusement tout ce travail ne sera pas utile dans l’immédiat. Il se trouve que les compétences des administrateurs du forum où je m’étais inscrite étaient très limitées. En effet un recensement était en cours, et j’avais bien notifié que je serais de la partie, sauf que je me suis vue supprimée mon compte par erreur… À la vue de mon emploi du temps j’ai décidé de ne pas me réinscrire, et de plus il se trouvait que ce n’était pas le seul souci. Mais je ne m’attarderai pas dessus.
Les quatre autres jours je me suis donc contentée d’écrire quelques mots dans un fichier random, juste pour l’exercice et ne pas faire tomber la sanction sur laquelle je m’étais engagée. Un des textes aurait peut-être eu sa place sur le blog, il parlait du premier tour des présidentielles, sauf qu’au final je me suis ravisée. J’ai beaucoup de mal à présenter des choses non abouties, et pour le coup l’écrit était particulièrement brouillon, même s’il donnait matière à réfléchir, je pense. De toute façon je n’aime pas trop me prononcer trop vite sur des sujets aussi délicats, mais rien ne dit que je ne dirais rien à ce sujet dans les semaines à venir.
Et enfin le dernier jour, ce jour-ci donc, j’ai écrit l’article, tout simplement.

Pour finir et faire le bilan, je dirais juste que peut-être je ne m’y suis pas prise au bon moment pour ce défi, étant donné que je dois réviser pour les partiels en mai. Contrairement à ce que je m’étais figurée, plus les jours avancés, plus j’avais du mal à produire quelque chose qui me plaisait réellement. J’étais stressée par une deadline aussi courte, tous les jours, en plus du travail qui m’attendait à côté. Mais ce fut un exercice toutefois plaisant, et je suis bien contente de l’avoir fait.

C'est tout pour le moment !

Sur ce,
Tcho !

Yo le peuple !
Comme la semaine dernière, et la semaine avant, voici une petite mise à jour de ce challenge que je me suis lancée au début du mois : 400 mots tous les jours pendant 30 jours. Comme les deux autres articles pour recenser mes activités, celui-ci ne sera pas très long. De toute façon il n’y a pas grand chose à dire pour cette semaine.
Disons que pour moi ce ne fut pas toujours facile. Même si j’avais la motivation, je n’avais pas beaucoup de temps. Comme j’ai quelques dossiers de fin de semestre à rendre, j’ai préféré me concentrer dessus. Et d’ailleurs mes sujets sont plutôt cool, mais j’avais un peu de mal à rédiger quelque chose qui me plaise vraiment. C’est un petit peu mon côté perfectionniste… Mais là n’est pas vraiment le sujet.

Encore une fois je vais m’efforcer de faire simple et concis, en racontant vite fait ce que j’ai bien pu faire durant cette semaine de dure labeur.
Les deux premiers jours j’ai continué ma fiche de personnage RPG, dont je parle depuis maintenant trois semaines, et qui n’est toujours pas terminée. Bah écoutez ! On fait comme on peut, et j’ai encore beaucoup à écrire dessus… Plus que ce que je ne pensais. Mais ça avance, je vous promets. Enfin je devrais dire ça aux administrateurs du forum. Et j’ai aussi un peu avancé mon projet perso de forum RPG. D’ailleurs pour toujours rester dans le RPG, le troisième jour j’ai fignolé l’article sur ce sujet pour pouvoir le poster le lendemain. Je ne suis pas tout à fait convaincu du résultat, mais j’espère que le message est bien passé. Les deux jours suivant, entre deux phases de travail intense, j’ai rédigé quelques petits textes personnels juste pour le plaisir. Je sais que je dois finir cette fichue fiche, mais disons que j’adore prendre mon temps, et mon inspiration aussi, si vous voyez ce que je veux dire. Du coup je me suis amusée à l’exercice d’écrire un peu tout et n’importe quoi.
Pour l’avant-dernier jour j’ai avancé un peu mon projet et ma fiche, mais rien de vraiment significatif… Et pour le dernier jour, comme d’habitude, j’ai tapé l’article pour aujourd’hui, pour vous raconter rapidement ce que j’ai fait.

Comme d’habitude cet article est fait pour qui veut voir comment j’avance dans ce défi personnel, qui plus j’y pense, plus je trouve qu’il tombe au mauvais moment. Je réfléchirai mieux la prochaine fois !

Sur ce,
Tcho !

Crédit: Puuung

Yo le peuple !
Voilà enfin l’article que j’annonce et que je repousse tout le temps. Si vous me suivez depuis un moment ou juste un petit peu, et que vous avez lu certains articles qui traitent d’écriture et de lecture, vous aurez sûrement remarqué que je fais de temps en temps – si ce n’est pas souvent – allusion au RPG, soit en long Role Playing Game, et en bon français Jeu De Rôle, donc JDR.
Mais alors donc, qu’est-ce donc que tout ceci ? D’où ça sort ? Qu’est-ce que c’est à mes yeux ? Et bien si les réponses à ces questions vous intéressent un tant soit peu, je vous invite à lire la suite !

Avant tout, je tiens à préciser qu’ici je ne vous parlerais que du RPG TEXTUEL, car il existe d’autres façons de pratiquer celui-ci, comme par exemple avec un plateau, des cartes, dans les jeux vidéos, etc…

Je pense qu’une petite définition ne fera pas de mal en tout premier lieu, pour éviter que ceux qui ne sont pas initiés, ne se retrouvent perdus dans cet univers que je vais essayer d’expliquer au mieux.
Qu’est-ce que c’est le RPG ? et Textuel ? C’est simple, le RPG ( jeux vidéos, sur table, forum… ) est un jeu de rôle dans lequel le joueur, - ou des joueurs - , incarne un personnage qu’il fera évoluer au cour du temps. Souvent les RPG sont basés sur un système de point, de niveau d’expérience et d’influence par les actions réalisées, mais ceci n’est pas toujours le cas…
Pour ce qui est du RPG Textuel, cela peut se passer sur table, mais surtout sur internet via des forums, tumblr, facebook, skyblog, etc… Mais pour les 3 derniers cités je ne connais pas très bien les communautés pour en parler.
Pour pouvoir réaliser un RPG textuel, comme pour tout type de plateforme il faut un contexte général, des classes/groupes, un système de jeu, des règles… Bref tout une organisation – Le Background – , où plusieurs personnes incarnent des personnages originaux. Pour ce qui est du déroulement de ce type de RPG, en pensant que cela soit via forum, plusieurs personnes ouvrent un sujet ( un RP ), où ils décident d’une situation, dans le contexte imposé par le forum, et à tour de rôle ils vont répondre par message interposés avec des descriptions et des dialogues… Il faut laissez libre court à son imagination !

D’où ça sort cette pratique ? Et bien on suppose qu’avec l’apparition des Internets, on peut dire que le JDR Textuel est apparu en 2000, quand le web devient un outil de communication, de sociabilisation stable. Au début certains le faisaient par e-mail, puis avec l’apparition des forums et des réseaux sociaux la pratique est devenue beaucoup plus visible ! Personnellement je me contente des forums. J’ai vite fait essayé via Facebook et Skype, mais je n’ai pas vraiment accroché. J’aime pouvoir écrire des pavés et des pavés, et j’aime savoir que sur la plateforme que j’ai choisi ce format est de coutume. En somme, maintenant les formats et communautés se sont bien diversifiés !

Pour ma part j’ai commencé à faire du RP assez tôt, vers dix ans, en sachant que la moyenne d’âge de ceux qui commencent est d’environ quinze ou seize ans. Ça fait un petit peu plus de huit ans maintenant donc que j’en fais, Et j’en ai vu passé des forums et des personnes.
Pour moi ça a été une délivrance sociale de pouvoir m’adonner à cette activité qui combinait deux choses que j’aimais – et que j’aime toujours – beaucoup : ’écriture et internet. J’ai toujours eu du mal à sociabiliser avec les gens à l’extérieur, comme je suis assez timide, et pour moi les forums furent une excellente aide pour palier à ce petit malaise. Je me retrouvais avec des gens qui aimaient le même univers que moi, et qui avaient la même passion. Les personnes venaient d’un peu partout, elles avaient leurs histoires leur vision du monde, puis n’importe quel âge. Le Jeu de Rôle textuel est un monde assez mixte, avec un peu de tout au niveau population.
Grâce à ça j’ai pu me faire des amis… Voir des « ennemis », mais c’est comme ça, dans le monde réel ça marche de la même façon. Il y a des personnes avec qui j’ai encore contact, où on s’amuse toujours autant, puis d’autres que j’ai perdu de vue. Des fois je regrette, des fois non. En tout cas j’en garde toujours de très bons souvenirs, même si des fois le feeling ne passait pas forcément.
A mes yeux le RPG sur internet est une véritable expérience humaine, qu’il faut au moins essayer une fois, un petit moment, on ne sait jamais, ça pourrait marcher, on pourrait rencontrer des gens géniaux, et surtout, se trouver un nouveau loisir créatif.

Le RPG c’est beaucoup de sentiment, c’est beaucoup d’émotion, beaucoup de galère et également beaucoup de stresse. On a envie que notre personnage vive des aventures fantastiques, on a envie de le voir évoluer… Mais pas trop vite, c’est comme notre propre enfant en fait, ou presque. Puis aussi on a envie de faire plaisir à nos partenaires de jeu, de faire avancer les relations. Un peu comme dans la vraie vie. Mais il ne faut pas la confondre. Le RPG c’est un peu une échappatoire pour certains, comme ça l’a été pour moi au début. Maintenant c’est un loisir parmi tant d’autres, où je me détends quand j’en ai le temps et l’envie, où je discute avec des gens qui ont les mêmes centres d’intérêt que moi.

Enfin bon ! Si vous voulez un peu rigoler ou vous renseigner, je vous propose trois tumblr francophone plutôt sympa et un site de référence RPG francophone en fin d’article.

Comme d’habitude n’hésitez pas à réagir en commentaire, racontez votre vie, tout ça tout ça, ça m’intéresse ! Si vous avez des questions n’hésitez pas non plus, et si vous avez un sujet sur le thème du RPG qui vous intéresse, et que vous voulez que je traite, proposez-le aussi ! Ça me ferait super plaisir ! Comme les univers qu'on peut retrouver, les mots un peu compliqués, etc...

Sur ce,
Tcho !


Mes coins du net :
• https://www.infinite-rpg.fr/
• http://jefaisdurp.tumblr.com/
• http://rpg-mood.tumblr.com/
• http://roleplay-and-sarcasm.tumblr.com/

Yo le peuple !
Voici l’article de la semaine pour rendre compte de l’avancée de mon challenge, 400 mots tous les jours, pendant 30 jours. Encore une fois celui-ci ne sera pas d’une longueur colossale, et rendra rapidement compte de ce que j’ai pu écrire durant cette seconde semaine.
Je dois avouer que plus j’avance, plus je me dis que ce n’était pas forcément le bon moment pour faire ce petit défi personnel. Je vois rapidement que je manque de temps – mais pas de motivation – ce qui est une source de stresse. Effectivement j’ai quelques dossiers à rendre pour ma fin de second semestre, et ce que je peux y écrire ne rentre pas en ligne de compte dans le défi ( normal, il n’y a pas vraiment de création ), de plus j’ai une vie sociale à côté de ça, et je dois organiser mes journées pour rentrer ce petit moment d’écriture, ce qui n’est pas toujours très évident.

Enfin, bon, cette semaine-ci je ne me suis pas trouvée particulièrement productive. Effectivement, les deux premiers jours j’ai continué ma fiche pour le forum RPG où je me suis inscrite récemment, mais je ne l’ai toujours pas terminée. Pas que je ne sois pas inspirée, loin de là, mais disons qu’il me manque quelques éléments de compréhension de l’environnement où je souhaite jouer, et je n’ai toujours pas de réponse. La troisième semaine sera probablement la bonne !
Ensuite les deux autres jours j’ai commencé à rédiger un article pour le blog, que je n’ai toujours pas terminé, mais c’est en bonne voie. J’aime bien prendre mon temps, peut-être un peu trop, et j’ai tendance à écrire un article en quinze minutes, comme en trois jours… Tout dépend du sujet. J’attends d’oublier ce que j’ai écrit avant de le reprendre, histoire de voir ce qui est toujours bon à garder, modifier, ou si c’est vraiment mauvais.
Les deux jours suivant, j’ai écrit quelques textes qui n’ont pas vraiment de « sens », et que je trouve plutôt très moyen. C’est personnel et sans grand intérêt, c’était surtout taper pour l’exercice, réfléchir à des mots, des tournures de phrases. Puis finalement le samedi, j’ai tapé l’article pour aujourd’hui, rien de bien fou c’est certain, mais j’avoue que j’adore écrire pour rendre compte de chose, donc voilà pour qui voudra le lire et vivre avec moi ce challenge un peu mal tombé.

Sinon c’est tout pour aujourd’hui ! Je vous donne rendez-vous très bientôt pour un nouvel article.

Sur ce,
Tcho !

Yo le peuple !
Voilà une semaine que j’ai commencé mon challenge d’écrire au moins 400 mots pendant 30 jours, donc je viens rendre compte de ma progression et de ce que j’ai fait durant cette première semaine, pour qui voudra bien le lire et surtout à qui sera intéressé. Bien sûr l’article ne sera pas très long, c’est histoire de dire que ça existe et pour voir comment cela se passe.

Au début je m’étais dit que ça aller être plutôt simple à réaliser, parce que bon, disons-le, 400 mots ce n’est pas grand-chose non plus, c’est même largement faisable. Et bien j’ai très vite vu que ce n’était une tâche aussi facile que je l’espérais. Effectivement, le moment où nous sommes inspirés, ça va, ça va tout seul et presque en dix minutes un quart d’heure c’est plié on en parle plus, par contre quand on à la flemme et la tête ailleurs, c’est une autre histoire. Je me suis retrouvée deux ou trois soirs, vers vingt-deux heures, à me demander ce que j’allais bien pouvoir écrire en sachant que l’idée n’y était pas… Puis je me suis souvenue de la conséquence et je me suis un peu faite force. Au final ça allait, j’ai survécu. Des fois je pouvais écrire le double, voir le triple de l’objectif, d’autres fois j’avais du mal à aligner les mots, même, je trouvais ça franchement pas terrible.

Alors sinon en soit, durant cette semaine qu’est-ce que j’ai fait ?
Et bien le premier jour je vous tapais l’article pour le lancement de ce petit défi personnel, jusque-là, rien de bien compliqué. Le second jour je me suis inscrite sur un nouveau forum RPG ( PROMIS, un article à ce sujet est pour très très bientôt ! ), et j’ai commencé à écrire le physique de mon personnage. Le lendemain, donc le troisième jour, j’ai écrit la psychologie du personnage, un moment que je n’aime pas particulièrement dans une fiche RPG, puisque je ne me trouve pas très douée pour décrire l’état d’esprit d’une personne. Ensuite est venu le quatrième jour où j’ai tapé un article pour le blog que vous pourrez retrouver Ici, qui est au sujet d’une réflexion inachevée de ma part. Le cinquième et sixième jour j’ai avancé l’histoire de mon personnage qui est à ce jour encore incomplète, et en plus de ça j’ai commencé le pitch d’un projet. D’ailleurs ce sixième jour j’ai bien cru que ça allait être un premier échec de ma part car j’étais de sortie… Mais J’ai tenu bon. Et enfin, le septième jour est venu, et voilà que j’ai écrit l’article pour aujourd’hui !

Jusque-là rien de bien palpitant, c’est même assez commun.
En attendant, je vous laisse déjà, et je repars pour une nouvelle semaine !

Sur ce,
Tcho !

Yo le peuple !
Vous voyez ce matin j’avais un peu de temps, donc un peu de temps à perdre avant de partir aller m’enfermer dans un amphithéâtre pour qu’on me parle de la Révolution Française. En vrai j’aime bien, c’est intéressant, mais ce n’est pas vraiment ce que je veux faire, du coup j’écoute juste d’une oreille. Y’a des chiffres, des grands noms, que des trucs intelligents qui prennent un peu la tête. Mais ça reste tout de même un peu intéressant.
Enfin bref ! Ce n’est pas vraiment de ça que je viens parler aujourd’hui. En fait, depuis quelques temps je me fais une réflexion. Depuis quelques temps je regarde des vidéos qui parlent d’acceptation de soi, tout ça tout ça, ces trucs qui motivent, enfin, normalement.
Ce matin j’avais du temps à perdre, et donc je me suis maquillée. Dit comme ça c’est anodin, pas très intéressant, tout le contraire de mon cours d’histoire qui parle de la Révolution Française. Cependant tout est relatif d’une personne à une autre. Mais en fait, quand je me suis maquillée y’a pleins de trucs qui me sont passés par la tête. Y’a des idées et des émotions qui m’ont traversé, entre envie de ne pas réfléchir et honte de moi-même. Du coup j’en suis arrivée à ça : Pourquoi je me sens si mal quand je décide de me maquiller ?

C’est vrai ça, pourquoi j’ai un truc dans le ventre qui me fait me sentir mal ? Comme si on me jugeait. Genre, sentir des yeux sur soit qui nous dit que c’est pas vraiment bien.
En vérité je ne me maquille pas beaucoup. Souvent je n’ai pas le temps, je n’ai pas envie, j’ai envie de pouvoir me frotter les yeux en toute tranquillité lorsque mon cours d’histoire sur la Révolution Française devient soporifique. Mais en attendant j’aime bien ça, j’aime bien voir des couleurs sur mes yeux, j’aime bien parce que je trouve ça artistique et joli, ça me plaît, ça ajoute un peu de peps à ce monde que je trouve des fois trop gris.
Alors des fois je prends du temps pour moi, je sors mes petits pinceaux, les petits produits, peut-être même une vidéo Youtube d’un gourou du make-up et je me lance, j’essaye de faire un truc qui me plait…
Puis c’est trop bizarre, d’un coup je me sens superficielle, je pense à toute la misère du monde, je me sens terriblement mal.

Du coup j’ai réfléchi à cet état. Pourquoi me sentir si mal, pour un truc si anodin ? Et j’en suis arrivée à quelques finalités : le jugement, les étiquettes.
J’ai remarqué que dans notre société, maintenant, on voit la jeune fille, la fille, la femme, la dame maquillée d’une manière qui me déplait. On la prend peut-être plus stupide qu’elle ne l’est réellement, elle perd toute légitimité envers les autres. Déjà qu’on voit la femme partout sur les affiches, un peu présentée comme un produit de consommation. C’est peut-être aussi ça qui joue ? Après ce n’est qu’une réflexion toute personnelle, mais c’est comme ça que je le vois, que je le comprends.
On associe le maquillage et le temps que l’on prend pour soi comme superficiel, inutile, une perte de temps ( ou de toi ? ). Et bien, d’accord, c’est une perte de temps en soit. Mais une perte de temps utile je pense. Prendre soin de soi, avoir envie de mettre un peu de couleur, se donner un style, en quoi cela serait mal, en quoi cela ne rendrait plus légitime une personne ? Être heureux de pouvoir se faire un petit ravalement de façade ?
Rien dans la logique ne légitime ces jugements.

Ça me fait aussi penser qu’il y a toujours cette injonction au bonheur. Tout le temps, tous les jours, partout, par tous. Par contre il ne faut pas trop prendre soin de soi non plus, faire attention aux autres, être bien dans les cases. Un paradoxe. Le maquillage rentre aussi dans ce schéma : fais attention à toi, c’est bien pour ton image, par contre ne le fais pas trop ou pas vraiment, ce n’est pas bien pour ton image. Je ne suis pas très forte pour expliquer les choses, mais j’espère que vous saisirez l’idée. C’est dans les cases sans vraiment l’être. Comme beaucoup de choses d’ailleurs. Peut-être est-ce juste une question de point de vue ?

Souvent on pense que le maquillage est un masque, qu’il montre un manque de con-fiance en soi. Je pense que pour certaines personnes c’est le cas, mais pourquoi basher cela, si cela les aide à s’accepter ? Moi-même j’ai pu le faire, mais plus j’y réfléchi, plus je trouve ce comportement stupide et inapproprié. Le tout c’est que ça ne soit pas mal sain, or à mon humble avis, trouver des solutions pour se sentir à son avantage, et si c’est se peinturer la face, c’est une bonne chose si ça nous rend heureux. Après oui, vient le dé-maquillage, on est peut-être déçu, de voir de nouveau notre face nue, mais c’est comme ça. Pour ça je n’ai pas forcément d’avis neutre, ou une réflexion poussée. Alors c’est comme ça. Et je ne peux pas répondre autre chose à cette situation.

Pour ma part je ne me peinture pas la face parce que je n’ai pas confiance, et j’aimerais qu’on arrête de me délégitimer par rapport à ça. Je ne me trouve pas exceptionnelle, c’est vrai, mais plutôt pas mal. Démaquillée ou maquillée. Mais ceci est un état tout personnel, une réflexion de ma part. Sauf qu’avec le maquillage je peux m’amuser de ce que j’estime comme des défauts, je peux cacher ou juste un peu modifier. Ça serait mentir de dire que j’aime voir mon acné dévoilée au grand jour. Mais maintenant je ne m’en forma-lise plus vraiment. Alors j’aimerais vraiment qu’on arrête d’inventer ma psychologie lors-que je décide de mettre un peu de couleur sur mon visage tout blanc, qu’on me dise que je suis mieux sans tous ces artifices. Oui, c’est peut-être vrai ce qu’on peut m’avancer, mais je m’en fiche. Enfin presque. A force de me le dire, tout ce qu’on arrive à me faire, c’est de provoquer en moi un sentiment de malaise. En tout cas ce n’est pas à travers vos yeux que je conçois mon monde. Ni les autres personnes qui s’amusent avec des poudres et des crèmes pour le visage.

Je ne sais pas si ce que j’écris a vraiment un sens, et qu’un quelconque message sera transmis. Je voulais juste partager cette petite réflexion. Cet article n’avait pas vocation à me plaindre, comme pleins d’autres sur ce blog, mais plus à amener une réflexion sur cette culpabilité qu’on peut ressentir lors de certaines de nos actions. Une réflexion sur la culpabilité que vous, que moi, que tout le monde peut faire ressentir à quelqu’un qui n’a rien demandé.

Sur ce,
Tcho !

Yo le peuple !
Aujourd’hui je viens vers vous pour vous parler de moi à vous, de vous à moi, d’un truc qui me tient terriblement à cœur. C’est un truc qui m’a été inspiré au début du mois concrètement, mais en soit depuis un an, par un mec qui s’appelle AUTODISCIPLE sur le Youtube Game, et ensuite par SolangeTeParle sur la même plateforme.

Vous voyez, écrire est une passion pour moi. Je fais ça depuis que je suis gosse, surtout sur du papier car j’adore le bruit et la sensation sous mes doigts, même si ça me fait mal au bout d’un moment et qu’à force je me suis faite la bosse de l’écrivain ( Ce qui, avouons-le, n’est pas très esthétique ). Souvent je ne suis pas vraiment satisfaite de ce que je fais, même, on peut le dire, c’est assez mauvais. Puis des fois j’aime bien, je me dis que je ne suis pas trop à plaindre, voir même que je serais le futur Baudelaire ( On peut toujours rêver… ). Mais… Ça c’est quand j’arrive à prendre du temps pour gratter quelques mots avec un stylo, ou taper quelques mots avec un clavier. Un temps souvent que je donne faiblement à mon Némésis : LA PROCRASTINATION. Et ça, depuis trop longtemps maintenant. Du coup, j’ai décidé au courant du mois de Mars que j’allais appliquer la méthode radicale pour écrire tous les jours de SolangeTeParle, pour tous le quotiden du mois d’Avril. Même si j’avoue que je ne sais pas si c’est bien raisonnable de ma part de faire ça en sachant que les partiels arrivent. Peut-être que ça sera une source de stresse en plus, ou bien au contraire un petit moment où je me retrouve en tête à tête avec moi-même pour décompresser de toutes mes autres tâches quotidiennes.

Bien ! Après ce petit racontage de vie, je vais enfin vous dévoiler mon petit programme qui débute aujourd’hui 1er Avril jusqu’au 30 Avril 2017, où durant tout un mois je m’engagerai à écrire tous les jours au moins 400 mots, sinon auquel cas je devrais m’assurer de déposer 10 euros dans une boîte fermée, à laquelle je n’aurais pas le droit de toucher avant le mois suivant ( Donc en Mai ).
Vous vous demanderez sûrement : Mais pourquoi 400 mots ? Mais pourquoi 10 euros ? Et bien les réponses sont simples. Pour ce qui est de 400 mots par jours, disons que c’est équivalent à ce qui est demandé sur un forum de jeu de rôle pour ce qui est de la quantité moyenne à produire pour une réponse à un sujet ( Si vous ne savez pas de quoi je parle, attendez-vous à voir apparaitre un article prochainement sur cette pratique ludique ). De plus, j’avais envie de commencer ce Challenge afin d’être plus régulière dans mes réponses à mes partenaires ( Les pauvres, des fois ils pouvaient attendre un mois ). Puis cette quantité ce n’est pas trop, pour éviter le stress, et suffisant pour ce dire que c’est un challenge quotidien. Après tout est relatif à ma personne, à ma vision de la productivité.
Ensuite pour ce qui est du 10 euros, une histoire d’argent, c’est tout aussi simple : Je suis étudiante, l’argent ne coule pas à flot et pour moi 10 euros auxquels je ne peux pas toucher c’est assez énorme, et assez handicapant, donc assez dissuasif pour m’obliger à faire ce que j’ai à faire.

Pour ce challenge je ne me suis pas mise la barre trop haute, mais suffisamment pour que ça soit un peu contraignant et stimulant. Et puis surtout parce que je vois les examens approcher à grands pas, au loin je pourrais entendre le grognement des cerbères lâchés sur les étudiants et qui hurlent « RÉVISIONS ! », en nous coursant. Et puis écrire doit rester un plaisir à mes yeux, et non pas une corvée où j’irais à reculons.

Et Voilà ! Je crois que j’en ai terminé ! Comme j’aime faire les choses bien, comme je viens d’écrire un article pour en parler, je me sens obligée de remplir mes obligations, et quitte à paraitre un peu psychopathe, toutes les semaines je viendrai rendre compte dans un court article de ce que j’ai pu produire, voir si je tiens le coup.

En attendant n’hésitez pas à me dire en commentaire ce que vous en pensez, si ça vous intéresse ou pas ( De toute façon je fais ce que je veux ), si vous avez déjà fait un truc du genre, tout ça tout ça. Parlez, ça m’intéresse !

Sur ce,
Tcho !