Δ #5 VIE MA VIE D'ETUDIANT(E) : VIVRE AU 11EME ETAGE D'UN IMMEUBLE Δ

Yo peuplade ! Voilà le premier article du mois, et le dernier de l'année. C'est un peu mon cadeau de noël, m'voyez ? ( Je sais...

Yo peuplade !
Voilà le premier article du mois, et le dernier de l'année. C'est un peu mon cadeau de noël, m'voyez ? ( Je sais que je vous ai manqué.) Par contre ça ne parlera pas de noël, du nouvel an, des résolutions, non, ça c'est vu et revu, et puis aussi franchement relou... Non. Aujourd'hui je vais vous parlez d'un truc encore plus relou ( mais pas trop ), comme vous l'avez vu dans le titre : Vivre au dernier étage d'un immeuble de bonne taille. Et ouais, des fois je me félicite d'avoir eu cette idée -presque- merveilleuse, puis des fois... Je me questionne sur le sens de ma vie, jusqu'à me maudire. C'est comme ça, tout le monde n'a pas le cerveau brillant d'un grand découvreur ou scientifique ou whatever, non... Ou du moins partiellement.
Du coup voilà pour cette fin d'année un superbe article sur ma vie étudiante, où je me plains un peu -beaucoup- et où je suis très contente - pas trop -.

1. Sortir les poubelles.
Je crois que c'est bien la première chose qui est la plus chiante qui puisse exister. Déjà quand on habite dans une maison de plein pied, ou en bas dans un immeuble c'est une corvée qui provoque chez beaucoup la procrastination... Mais là ça se décuple au moins dix fois. Quand on habite au 11éme étage on essaye de se motiver comme si on allait faire un footing ( ce qui est déjà relou ), mais en plus on doit faire ça via un ascenseur, où on a plus de chance de tomber sur une personne random qui n'a pas demandé cette odeur de poisson dans son espace de vie. Toute son image tombe en miette à ce moment là, c'est le drame. Des fois on a une idée qui traverse notre esprit : et si je jette ça par la fenêtre, ça va se voir ? OUI ANDOUILLE. Bien sûr que ça va se voir...

2. Sortir tout court.
Pour les mêmes raisons que pour descendre les poubelles, sortir, tout court, c'est-à-dire pour aller voir ses potes, faire les magasins, aller au cinéma... Et bien c'est compliqué car on a la flemme de descendre de son perchoir, m'voyez ? Et cette envie de procrastiner dans son coin s'accentue lorsqu'il ne fait pas beau. Là, c'est le combo parfait de la non-action.

3. Quand l'ascenseur ne fonctionne pas.
Est-ce que je dois vous parlez de la malédiction de l'ascenseur ? Franchement ? Pourtant c'est clair : Imaginons que nous n'avons pas eu la flemme de sortir pour aller faire nos courses, tututututu, on marche, on fait ses petits achats et hop, on rentre fissa... ET BAH NON. Non pourquoi ? Parce que l'ascenseur ne fonctionne plus. Dans le meilleur des cas il y a un autre ascenseur, et on prend l'autre quitte à descendre/monter un étage ( chez moi on a un ascenseur pour les étages paires et un autre pour les impaires ), sinon... On se tape les escaliers... Avec ses courses. *truestory*

4. Quand les deux ascenseurs ne fonctionnent pas.
Là aussi je n'ai pas besoin de développer : c'est toujours aussi casse-bonbon.

5. L'attente dans l'ascenseur parce que tout le monde décide de le prendre en même temps que toi, même le gars du premier.
Pas besoin de vous faire un dessin là non plus, je crois que l'intitulé est clair : NE JAMAIS PENSER DESCENDRE AUX HEURES DE POINTES, et encore moins quand on sait que l'ascenseur est un peu teubé sur les bords. Je m'explique, mise en situation : imaginons que l'on prend l'ascenseur pour rentrer ( toujours avec ses courses sinon ce n'est pas drôle ). On est un peu bête, tout le monde rentre à ce moment là, et en plus de ça tout le monde vient d'un étage différent ; déjà c'est chiant parce qu'on va se taper tous les arrêts avec notre ascenseur pas très réactif, mais en plus de ça une personne décide de descendre au zéro... Et l'ascenseur oublie la priorité des boutons... Du coup on est bon pour tout refaire. *truestory*

6. La vue.
Bon après, y'a quelque chose dont je ne peux pas me plaindre - ou presque - c'est la vue qu'on peu avoir, qui pour le coup, chez moi, est plutôt sympathique. On pourrait "presque" se croire dans un film, ou à la rigueur à NYC discount. Rien que ça... Bon après on sait tout ce qui se passe chez les voisins d'en face, qui on une petite maison, et que la vieille décide de faire du naturisme dans son jardin...

7. Le confort sonore. ( ou presque )
Un autre point positif à vivre tout en haut : le confort sonore de ne pas entendre ses voisins du dessus faire des claquettes. Par contre on ne changera pas les voisins de gauche et de droite. Non. C'est trop simple sinon.


Et voilà, c'était le dernier point de ce dernier article du dernier mois de cette année 2016.
J'espère que ça vous aura plus, et on se retrouve l'année prochaine !
En attendant vous pouvez réagir en commentaire, me dire dans quoi vous vivez ( un placard ? ), si vos voisins ne sont pas trop embêtants, et si votre voisine d'en face fait du naturisme.


Sur ce.
Tcho !

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2 commentaires

  1. Haha, je t'avoue que quand j'ai actualisé la page Hellocoton et que j'ai vu deux nouveaux articles je me suis dis "oh non, des trucs de nouvelle année". Pari perdu à 50%, donc merci ! ;)

    "imaginons que nous n'avons pas eu la flemme de sortir pour aller faire nos courses" ou devrais-tu dire : "imaginons que nous avions tellement faim qu'il a fallu sortir aller faire les courses à défaut de faire venir un gentil livreur" :P

    Moi j'habite au troisième et y'a pas d'ascenseur, mais au troisième t'en a pas besoin.
    Et nos voisins de l'immeuble d'en face ne font pas de naturisme x)

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    1. Je suis fantastique c'est normal.

      Non mais tu te rends compte un livreur : du social + descendre de sa tour. IM-PO-SSIPLE. INIMAGINABLE !

      Oui au 3éme ça passe... sauf chez moi, y'a des gens qui se sentent OBLIGES de l'utiliser... lol... On rigole. Sinon t'as de la chance avec tes voisins d'en face :')

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