Yo le peuple !
Me voilà dans un nouvel article un petit peu plus fun que les derniers. Comme vous le savez c'est bientôt la nuit des citrouilles, des fantômes, des morts-vivants et autres monstruosités, où des sales gosses viennent sonner à votre porte pour vous menacer en vous quémandant des bonbons. Ouais, bientôt c'est Halloween, la nuit des horreurs ( Et de mon anniversaire. Lol. ). J'avoue que je suis tentée de vous faire un article spécial culture sur cette fête assez spéciale, mais aujourd'hui je ne rentrerais pas dans les détails folkloriques et historiques de cette date qui peut susciter peur et excitation. Non, aujourd'hui on va parler cinéma et je vais vous présenter trois films horrifiques qui pourraient bien faire votre soirée du Samain.


HOLIDAYS
Date de sortie : 14 Avril 2016
Durée : 1h45
Réalisateurs : Anthony Scott Burns , Kevin Kolsch, Nicholas McCarthy, Adam Egypt Mortimer, Gary Shore, Kevin Smith, Sarah Adina Smith, Scott Stewart.
Spitch : C'est un film composé de plusieurs histoires contant les fêtes emblématiques de notre calendrier occidental comme Noël, Halloween, Pâque et bien d'autres.

» Je trouve l'idée de ce film très intéressante et originale, ça change vraiment de l'ordinaire. Celui-ci se découpe en plusieurs petits courts-métrages, réalisés chacun par une personne différente. Les fêtes qui y sont représentées sont retravaillées pour leur donner à chacune une ambiance dégoutante et terrifiante avec aussi une certaine dose d'humour un peu crade. Les images sont belles, les choix des plans sont judicieux, les références mystiques sont merveilleusement bien insérées, mais ceci est difficile pour moi à vous expliquer. Il y a très peu de dialogue dans ce film, ce qui renforce l'univers glauque que les histoires dégagent, il faut donc avoir l'oeil sur tous les petits détails.
Ce film est à mes yeux une petite perle, mais tout le monde ne peut pas être réceptif à ce genre de concept, toutefois je vous conseil vivement de le regarder pour vous faire une avis sur celui-ci !


THE WITCH
Date de sortie : 19 février 2016
Durée : 1h33
Réalisateur : Robert Eggers
Spitch : L'histoire se passe en l'an 1630, en Nouvelle-Angleterre. Un couple de dévot, William et Katherine, décide de s'établir à la limite de la civilisation, menant une vie pieuse avec leurs cinq enfants en cultivant leur percele de terre au milieu d'une étendue sauvage.
Un jour leur nouveau-né disparait et la perte soudaine de leurs récoltes vont rapidement les mener à se dresser les uns contre les autres... Mais quelque chose rôde dans la forêt, la nuit...

» Qu'est-ce que je peux dire sur ce film à part qu'il m'a coupé le souffle. Sachez que je suis une grande amatrice de film d'épouvante, et je regarde un peu de tout, même les "mauvais", on ne sait jamais. Mais là, c'est une nouvelle fois une perle ! Même s'il y a très peu de dialogues encore une fois, l'histoire est prenante, et si l'on reste bien concentré sur les images, le sens se fait. Je ne saurais pas vraiment vous décrire le sentiment que j'avais en regardant ce long-métrage, outre le fait que l'ambiance soit pesante et glauque, mais tous les éléments du film sont choisis soigneusement pour faire sens avec le titre et les événements étranges que subissent cette famille. Ce qui m'a touché c'est vraiment le fait que les images sont extrêmement propres avec leurs significations propres. Si vous êtes un peu renseigné sur les symboles bibliques et ésotériques, je pense que ce film vous donnera une drôle de sensation de montagne russe dans le corps, en voyant que cette pauvre famille ne comprend pas ce qu'il lui arrive, mais que vous oui, mais que vous ne pouvez rien faire.


MISTER BABADOOK
Date de sortie : 30 Juillet 2014
Durée : 1h34
Réalisatrice : Jennifer Kent
Spitch : Après la mort brutale du mari d'Amelia, cette mère lutte pour rendre la raison à son fils de 6 ans, Samuel, devenu complètement incontrôlable et qu'elle n'arrive pas à aimer. Lorsque un mystérieux livre intitulé " Mister Babadook " se retrouve dans la maison, le jeune garçon est persuadé que le " Babadooke " est la chose qui hante ses cauchemars. Ses visions prennent donc des tournures démesurées et il devient de plus en plus imprévisible et violent. Petit à petit sa mère sent une présence malveillante autour d'elle et réalise que les avertissements de son fils ne sont peut-être pas de simples hallucinations...

» Rien que faire des recherches sur ce film et vous en écrire quelques mots, j'ai une boule d'angoisse qui se loge près de mon coeur. Quand j'ai vu ce film, durant quelques jours je n'osais pas rester éveillée tard le soir et j'étais complètement paranoïaque avec mes placards. Ce film là, comparé aux deux autres est beaucoup moins subtile, mais tout aussi intéressant, surtout si on ne veut pas se casser trop la tête. ce long-métrage met bien en avant la peur primaire des êtres humains, surtout dans l'enfance, qui est le noir et ce qui le peuple. Tout comme les autres films que je vous ai rudimentairement présenté, celui-ci aussi comporte aussi des images très propres qui met bien en valeur l'ambiance. Tout est en nuances ternes, de noir et de gris, la lumière n'a pas beaucoup de place. Mais je ne saurais pas vous décrire ça avec précision, donc je vous laisse allez voir par vous-même, si votre coeur est bien accroché. Toutefois, attendez-vous à une fin... surprenante.


Et voilà ! C'est tout pour aujourd'hui. J'espère que cet article spécial Halloween vous aura plu. Dites moi ça en commentaire, et si vous en avez déjà vu dites-moi ce que vous en pensez, je suis curieuse !

Sur ce.
Un bonbon ou un sort ?

Yo peuplade !
Oui je sais, j'avais dit dans le précédent article que je reviendrai assez vite, mais disons que j'ai eu quelques imprévus, et la vie seule ce n'est pas toujours facile ; faire à manger, la vaisselle, la lessive, ranger sa maison, avoir une vie sociale, les cours aussi, surtout... Tout ça tout ça quoi, on va dire que j'ai des journées bien remplies, surtout le lundi, mardi, mercredi, qui sont mes seuls jours de cours ( Et aussi un peu le jeudi, mais j'avoue, je n'y suis jamais allée... j'habite loin de la Fac et en plus c'est un cours magistral à un heure indue. Faut pas pousser mémé dans les orties. ). Enfin bref, maintenant que tout est de nouveau dans l'ordre, je viens me plaindre à vous, mes quelques lecteurs survivants, après cette longue absence.


La longue explication, qui en fait n'est pas si longue, de pourquoi je n'étais pas très active sur la blogosphère, simple et précis : j'avais une flemme immense ( lol. ) et puis j'avais pas mal de boulot en fait ( double lol. ) et surtout, l'administration avait décidé de me mener la vie dure encore un petit peu, histoire qu'on perde pas trop la main dès la rentrée. Bah oui, sinon, c'est pas drôle.
Je vous passe l'épisode des bourses qui ne passent pas, parce que c'est le bordel de leur côté, et que bon les clauses ont changé au dernier moment, et que c'est trop rigolo de faire Halloween aux étudiants deux mois en avance. Je vous passe également l'épisode de " je n'ai toujours pas trouvé de médecin, et ça c'est vraiment pas cool, en sachant que là je me sens pas très bien, et que j'ai des ordonnances à faire régulariser et quelques autres spécialistes à aller voir, mais que j'ai pas le temps, et que je trouve pas un pro' disponible qui prend de nouveaux patients. ", non, ça, ça sera probablement pour une prochaine fois, si je trouve un jour.
Non, aujourd'hui je viens vous parler de l'administration de ma Fac et de mon emploi du temps, parce que là, vraiment y'a du lourd, et y'a de quoi rire jaune pendant un petit moment.

Effectivement, disons que mon arrivée à la Fac ne s'est pas faite en douceur, pour la simple et bonne raison que : JE NE SUIS PAS TOMBÉE DANS LA BONNE LICENCE. Oui. C'est possible. Enfin à demi-possible. Laissez moi donc vous conter cette histoire : En réalité je devais rentrer dans une licence d'histoire de l'art et d'archéologie, sauf que ceci, en Licence première année, cela n'existe plus, dû à une réforme passée il a peu de temps, et je me retrouve donc dans ce qu'ils appellent dans leur jargon " un portail ", c'est-à-dire que c'est un machin qui regroupe des disciplines " générales " selon la famille de formation choisit à la base, pour donner une ouverture d'esprit et des connaissances plus larges. Alors dans l'idée c'est pas mal, c'est même plutôt cool, surtout pour ceux qui ne savent pas où se diriger et qui sont là un peu par la force des choses... MAIS POUR LE RESTE... UNE PETITE EXPLICATION CLAIRE ET PRÉCISE "AVANT", AURAIT ÉTÉ DE BON TON... Mais bon, si ça peut être rassurant, il n'y a pas que les étudiants qui sont paumés, les professeurs sont dans le même bateau et rage tout autant ( On en parle du prof' d'histoire-géographie qui débarque en nous disant qu'il parait qu'il a cours avec nous ? ). Du coup, c'est comme ça que je me suis retrouvée à avoir les mêmes cours qu'un gars qui avait demandé une licence en sociologie. Je veux bien qu'il y ait des rapports entre les matières, mais ça reste extrêmement subtile... Ce qui donne pendant le cours de présentation de l'année une question comme " Est-ce qu'on peut changer de portail ? " ( La seule posée d'ailleurs. ) et pour finir au bout d'un mois avec la moitié d'un Amphi absent. Nice.

Enfin bon voilà une des nombreuses explications que je peux donner de pourquoi je n'étais pas très motivée à écrire sur le blog durant le mois qui a couru. Mais rassurez-vous, je tiens bon, et on final les cours sont loins d'être déplaisants, même, ils sont très intéressants. J'ai quand même envie de dire que ça reste plus une passion, plutôt qu'une vocation. Toutefois j'irais jusqu'à la fin de cette année, je n'abandonnerais pas. De toute façon, une fois en deuxième année j'aurais le choix entre plusieurs spécialités, dont histoire de l'art OU archéologie ( Bah oui, les deux en même temps ça n'existe plus, ce qui est bien dommage. Les notions d'histoire de l'art se retrouvent dans un autre portail... Mon avis personnel, je ne trouve pas ça très judicieux. ).

Ensuite, seconde partie des joies du stresse intense, c'est mon emploi du temps. Pendant deux semaines j'avoue que j'étais toujours en train de courir après les papiers, car à côté de ma licence générale, je suis un Diplôme Universitaire d’Égyptologie. Bah oui, on aime se rajouter des heures. Mais du coup comme c'est quelque chose en plus, la Licence 1 n'est pas forcément au courant... ce qui a occasionné quelques chevauchements de cours au début. Heureusement j'ai pu changé ça assez vite malgré la feignantise de quelques services ( ou plutôt des systèmes, les pauvres humains n'y sont pas forcément pour quelque chose. ), et je me suis fait un peu balloté d'un point à un autre. La routine quoi...
DU COUP j'aimerais faire tomber pour de bon le mythe de comme quoi on ne travail pas à la fac et je pose ici un gros LOL dans les faces des gens qui pourraient ricaner derrière leur écran. Quand je dois me lever à 6h du matin, me taper 8h de cours sans pause, et encore 2h de 18h à 20h pour rentrer chez moi à 20h30... Je vous assure que c'est tout sauf une partie de plaisir, même si c'est intéressant, ( Sauf le TD de méthodologie... On en parlera un jour. ). Bon après j'avoue je ne travail que trois jours par semaine, mais ça reste trois jours intenses avec peu de temps pour souffler, ce qui n'est pas top pour une concentration optimale. C'est comme ça malheureusement pour ce semestre. Sans compter les heures de lecture, de reprise des cours, des exercices... C'est pourquoi il est fréquent que je m'endorme lamentablement sur ma table et que j'entende les piques insidieux des professeurs passant devant moi ( Parce que douée que je suis, et montrant toute ma bonne volonté, je me mets devant. Bah oui. voyons... ).

Enfin bon voilà, je crois que c'est tout pour aujourd'hui. J'ai quelques autres sujets que je voudrais aborder dans cette série, mais je pense que ça va attendre un peu, j'ai d'autres articles plus léger pour les prochaines fois.
Bien que j'ai réussi à me remettre doucement à mes activités non-socialement-réelle, je ne sais pas encore quel rythme je vais adopter pour le blog.

En attendant dite moi en commentaire comment c'est passé votre rentrée à l'école, la Fac, au boulot ? Vous voudriez que je vous détail plus mes cours ? Que je vous parle de mon DU ?

Sur ce.
Tcho.